Patagonie

Sud de l’Argentine et du Chili, séparée par la Cordillère des Andes, une des régions les moins peuplées au monde, elle abrite des paysages contrastés : hautes montagnes, glaciers, pampa …

Au Chili, petite ville plaisante : Puerto Natales.

En Argentine, la ville d’El Calafate et le lac Argentina.

Les marins espagnols se servaient du bois de cet arbuste pour « calfeutrer » les trous dans la coque des bateaux, d’où le nom « el calafate ». Avec les fruits, on fait d’excellentes confitures mais aussi de la liqueur.

Nous rejoignons El Chalten à travers la pampa pour apercevoir le célèbre Fitz Roy (3405 m). En chemin, nous rencontrons la faune locale : guanacos (cousins du lama), émeus, flamands roses, … Magique !

On adore ces paysages désertiques et grandioses où on se sent au bout du monde.

Pour finir, 2 petites vidéos :

2 Comments

  • En fin de parcours, je vais prendre le risque de m’aventurer sur les chemins hautement culturels de François en évoquant les récits de Sepúlveda et notamment les « Dernières nouvelles du Sud ». Une approche de la Patagonie non pas par l’envers mais plutôt par l’intérieur du décor… un voyage presque au gré des vents de ces latitudes australes et surtout des rencontres qui incarnent toute l’âme de cette terre certes impressionnante pour le visiteur de passage que nous sommes, mais aussi tellement inhospitalière… De coup, je viens de « reparcourir » avec délectation quelques passages de ce beau récit illustré de poignantes photos en noir et blanc… Merci pour cette occasion de « vibrer » bien que condamnés à la réclusion du confinement!

  • Le voyage continue grâce à votre récit fort documenté en ces terres intactes de la Patagonie. Autrefois obstacle à contourner pour les navigateurs, cet immense territoire à la lisière du Monde est considéré aujourd’hui comme un sublime environnement pour les amoureux de la nature.
    « La Patagonie, c’est ailleurs, c’est autre chose, c’est un coin d’âme caché, un coin de cœur inexprimé. Ce peut être un rêve, un regret, un pied de nez. Ce peut être un refuge secret, une seconde patrie pour les mauvais jours, un sourire, une insolence. Un jeu aussi. Un refus de conformité. »
    Jean Raspail – écrivain et explorateur.
    En 1860, un fils de paysan périgourdin, Antoine de Tounens prit un bateau pour l’Amérique latine, débarqua au Chili et y fonda un royaume au beau milieu des indiens Mapuches. Cette histoire invraisemblable d’un homme invraisemblable et pourtant vraie est narrée dans « Le rêve du sorcier « par l’historien Jean-François Gareyte, sera romancée dans »Moi Antoine de Tounens, Roi de Patagonie » par Jean Raspail, puis mise en image par l’américain Niles Attalah dans son film expérimental  » Rey, l’histoire du français qui voulait devenir Roi de Patagonie. »

    https://www.youtube.com/watch?v=2twsvIYyCfQ

    Pour finir et vous rappeler Valparaiso quelques images de l’immense photographe chilien Sergio Larrain décédé il y a quelques années à découvrir ou redécouvrir

    https://www.youtube.com/watch?v=SlQZenDZk6Q

    Je vous embrasse

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