Buenos Bamba
Buenos Aires, le petit Paris d’Amérique latine, devient notre dernière étape après 7 mois de voyage. On prend conscience de la situation mondiale : nous sommes le 12 mars, les frontières ferment, mais aussi musées et spectacles …
On choisit de voir 2 quartiers avant de passer le dernier week-end dans la Pampa : le Centre-Ville pour la Plaza de Mayo et ses monuments, Palermo pour sa vie branchée.
Casa Rosada, palais présidentiel 
Plaza de Mayo 
Jardin botanique 
Drôles de bêtes … 
Palermo, restos et boutiques
La somptueuse Estancia Bamba de Areco possède et abrite une équipe médaillée de polo ! C’est aussi une auberge magnifique au milieu de la pampa (vastes prairies fertiles où les gauchos élèvent du bétail). Séjour enchanteur 🙂 avec déjà la nostalgie de tous les endroits visités …
Les écuries abritent les 18 chevaux de l’équipe de Polo
Un accueil privilégié, des hôtes très sympathiques (merci Valérie !), dans un décor authentique et soigné, et des barbecues inoubliables.
Tea time 
Cheminée dans la villa 
Crêpe au dulce de leche grillée au fer rouge. Délicieux!
Découverte des environs à cheval comme de vrais gauchos … ou presque ! Magique 🙂
une équipe vraiment aux petits soins 
Haïku des voyageurs :
Août 19 Mars 20
De Moscou à Buenos Aires
Tour du monde bouclé !
Merci de nous avoir suivis et à bientôt ……………..
Une dernière vidéo d’un moment enchanteur :
3 Comments
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Je reste déçue pour vous que Buenos Aires se soit subitement repliée sur elle-même avant que vous n’ayez pu la découvrir davantage. J’avais aimé cette ville palpitante que j’avais ressentie à la fois très lointaine et très proche, pétrie d’une histoire qui donne toutes sortes de frissons.
Mais je me dis finalement que le sentiment d’avoir tout bien bouclé n’aurait pas forcément été la meilleure fin. Clore a toujours quelque chose de triste, me semble t-il. Là, tout reste ouvert… Vous n’avez pas posé le point final, d’autres pérégrinations restent à écrire… D’ailleurs n’avez-vous pas séjourné en dernier au milieu des chevaux, animal, s’il en faut, un peu symbole de la mobilité des hommes et de liberté….Mais oui, sans tarder vous chevaucherez à nouveau de par les grands espaces de cette belle planète!
Buenos aires, la ville qui ne s’endort jamais et dont la beauté a sûrement quelque chose d’impalpable et de mystérieux, a su cultiver un art de vivre qui survécut aux heures sombres de la dictature militaire. Le bouillonnant mélange de cultures se retrouve dans tous les domaines et bien sûr la musique, la danse, le cinéma, l’architecture, les arts plastiques et même le sport.Quant au gaucho, véritable mythe dans l’imaginaire collectif argentin autrefois chasseur de bétail sauvage pour en devenir le gardien, c’est au cheval qu’il doit son identité. Bartabas saura rendre hommage à ce prodigieux animal en lui laissant toute la place dans « Ex anima »
https://www.youtube.com/watch?v=BzS6i4wC-Sc
Je remarque que la petite écuyère vêtue d’un sweat noir sur la photo a des faux airs de Fanny qui aurait, n’en doutons pas, adoré être en votre compagnie pour ces magiques balades dans la pampa.
Alors, si vous le voulez bien, laissons venir la musique et la danse pour quelques minutes avec Claudia Miazzo et Jean Paul Padovani
https://www.youtube.com/watch?v=IoyIPqLg_J0
Je vous embrasse
Joli compte-rendu de notre séjour à la Bamba, endroit magnifique. Belle convivialité et partage de moments d’émotion équestre , surtout pour Brigitte! Bravo. Au plaisir de partager de nouvelles aventures.