Do the Red Centre
Nous avons en projet de rejoindre Uluru en plusieurs étapes à partir d’Alice Springs en privilégiant les pistes … Donc il nous faut louer un camping-car 4×4 en approvisionnant la « cuisine » (et surtout beaucoup d’eau) et nous munir de cartes détaillées de la région.
Peu de voisins dans les campings …
Rue principale d’Alice Springs 
Discussion à l’ombre
En cours de route, nous visitons plusieurs sites connus pour leur point d’eau. Il n’y a pas vraiment de saison dans ce désert, il fait toujours très chaud dans la journée (de 35 à 45°) et moins la nuit (18 à 28°). Les pluies sont très rares, en février principalement ! En novembre, les points d’eau sont au plus bas !!!
Malgré notre appréhension, les pistes se révèlent en assez bon état, nous n’avons pas eu de crevaison. Les bords des pistes sont jonchés de morceaux de pneus crevés et même de carcasses de voitures ainsi que, malheureusement, de nombreux cadavres d’animaux (kangourous, chevaux et même chameaux).
Red Centre : … 
Il porte bien son nom.
Sur l’ensemble du parcours, peu de rencontres avec des animaux … vivants ! hormis les mouches : nécessité de porter un filet sur le chapeau. Manger dehors s’avère donc compliqué et le camping-car pas climatisé dans la cellule est une vraie fournaise !!!
Termitières … 
Mais oui, chameaux … 
Revoilà le Dingo …
Mise au frais 😉 
Après l’étape d’Uluru (qui fera l’objet d’un autre article), nous reprenons la route goudronnée vers le sud en direction d’Adélaïde (environ 1.500 km.). Si la première partie se passe bien, vents violents brûlants (50° … ) et tempêtes de sable perturbent notre traversée. Peu de circulation (si ce n’est des « road train »), pistes interdites hors la Stuart Highway, visibilité réduite, camping-car ballottant, bref on arrive au nord d’Adélaïde fatigués mais contents d’en être sortis !!!
Paysage forgé … 
… par les mines d’opale.
Dernier rayon de soleil … 
Des mini tornades soulèvent le sable rouge
Apocalypse dans une ville fantôme …
Des lacs, il ne reste plus que la croûte de sel 
3 Comments
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Dans le projet que j’avais ébauché, cette étape se faisait en avion…. finalement, peut-être pas une mauvaise option…En tout cas, vous vous avez relevé là un beau défi! Bravo à l’organisateur-chauffeur qui a quand même se demander à certains moments dans quelle galère il s’était embraqué…. non?!,! 😉
Et toujours mes fautes de frappe que vous me pardonnez, j’espère! Je clique toujours sur « envoyer » avant d’avoir relu avec suffisamment d’attention!!!! grrrrrr!!!
Alice Springs, capitale du désert et de l’art aborigène et point de départ de votre périple.
Ce centre rouge, cet « Outback » est un terrain de jeu idéal pour laisser s’exprimer son âme d’aventurier et sait se montrer généreux et laisser aux autres couleurs un espace d’expression. Rouge ? pas seulement… Ce sublime territoire, sacré pour ses premiers habitants, ces terres pour la plupart vierges, comme coupées du monde, à l’écart du temps…
Alors pour accompagner ces superbes vues et en pensant à Bribri un peu de mouvements?
Ceux-là lors d’un festival à Brisbane:
https://www.youtube.com/watch?v=OhyKsEn6_So
et ceux-là de la Bangarra Dance Theather, grande compagnie de danse contemporaine de Sydney,ici des extraits d’un spectacle intitulé : « Spirit »
https://www.youtube.com/watch?v=FJtZZGXMN0Q
Je vous embrasse